2908, 2023

[1er sept 2023] Aloïse Quesne à la Clôture de la Chaire d’excellence Normandie pour la Paix

Aloïse Quesne, membre du comité scientifique de la SfZ, interviendra le 1er septembre 2023 lors de la clôture de la Chaire Normandie pour la Paix (2019-2023). La sentience animale, les droits des animaux et la SfZ y seront à l’honneur puisqu’Aloïse interviendra avec une communication d’1h, intitulée “La dynamique de reconnaissance de la sentience animale et des droits des animaux”, au cours de laquelle elle dressera le bilan des activités réalisées

2905, 2023

Aloïse Quesne, Lauréate de l’Institut Universitaire de France

La SfZ se réjouit de compter parmi ses membres actifs Aloïse Quesne, qui vient d’entrer à L’institut Universitaire de France (IUF) comme Membre Junior pour la Campagne 2023. Toute l’équipe de la SfZ la félicite pour cette reconnaissance méritée. Aloïse Quesne est très investie en tant que juriste dans la reconnaissance d’une seule santé (One Health) et du Droit du vivant, du Droit animal, de la Bioéthique et de l’innovation

2503, 2023

Prix du jeune chercheur du Jane Goodall Institute sur la relation humain / animal

Les candidatures pour le Prix du jeune Chercheur du Jane Goodall Institute France sont ouvertes jusqu’au 30 avril 2023 à minuit ! Contact : prixjeunechercheur@janegoodall.fr Plus d’informations, sur le site du Jane Goodall Institute France

0903, 2023

[Parution] La sensibilité animale. Approches juridiques et enjeux transdisciplinaires, Aloïse Quesne (dir.)

Plusieurs membres de la SfZ (Georges Chapouthier, Astrid Guillaume, Jean-Marc Neumann, Aloïse Quesne), ont participé au colloque et à la publication sous la direction d’Aloïse Quesne de La sensibilité animale Approches juridiques et enjeux transdisciplinaires. La SfZ était partenaire de ce colloque, elle se réjouit de voir aboutir la publication des Actes sur un sujet très important pour la société. L’intérêt croissant des citoyens envers la cause animale s’inscrit dans

2211, 2021

[10 décembre] Colloque international et transdisciplinaire « Quel(s) droit(s) pour les animaux? », dir. Aloïse QUESNE

La Société française de Zoosémiotique se réjouit d’être partenaire du colloque Quel(s) droit(s) pour les animaux?, organisé sous la direction scientifique d’Aloïse QUESNE, membre de la SfZ. Ce colloque international et transdisciplinaire est placé sous le haut patronage de Jean-Paul COSTA, ancien Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, Conseiller d’État honoraire et Président d’honneur de la Fondation René Cassin. Cet événement se déroulera en distanciel le vendredi 10 décembre

2907, 2021

[RTS] Jean-Marc Neumann – LʹOurs polaire et le droit (émission Chouette!)

Jean-Marc NEUMANN, membre du Conseil d’administration de la SfZ, présente le premier ouvrage de la Collection Zoosémiotique, chez L’HARMATTAN, dans l’émission CHOUETTE! sur la RTS, la 1ère, ce jeudi 29 juillet 2021. Avec des lois, des conventions et des accords peut-on sauver lʹours polaire et son milieu toujours plus convoité par les nations qui se disputent ses ressources? Symbole du dérèglement climatique, la situation de lʹours polaire est aussi le

1112, 2020

[Parution] L’ours polaire et le Droit. Signaux d’alerte, Jean-Marc Neumann

La collection Zoosémiotique sort son premier livre. L’ours polaire et le droit. Signaux d’alerte, par Jean-Marc Neumann, avec une préface d’Astrid Guillaume. L’ours polaire est le plus gros carnivore terrestre. Il règne en maître absolu sur les étendues glacées de l’Arctique et fascine par sa beauté ainsi que par son adaptation à l’un des environnements les plus hostiles de notre planète. Après avoir été conduit au bord de l’extinction par

2505, 2018

[Débat de société] Souffrance animale, le poids des mots et des non-dits

Astrid GUILLAUME pour The Conversation. A partir du 22 mai 2018, l’Assemblée nationale débattra sur l’expérimentation de la vidéosurveillance dans les abattoirs. Si l’émotion provoquée par la découverte de vidéos témoignant d’actes graves de maltraitance dans des abattoirs français est pleinement justifiée, elle n’en demeure pas moins surprenante. Elle interroge en effet sur la naïveté du consommateur de viande qui semble ignorer que donner la mort à un être vivant « sentient »